Dernier réveil dans la capitale, on part pour Battambang aujourd’hui. Vers 14h, après un dernier plat de spaghetti, on dit au revoir à nos belges en espérant les revoir dès leur retour, dans 1 an et demi. Après avoir roulé toute l’après-midi nous arrivons vers 22h dans la petite ville de Battambang. Nous choisissons une guesthouse familiale au personnel adorable. Après un repas dans la rue à 1$, nous nous couchons pour être en forme pour la grosse journée du lendemain.
Après un passage à la boulangerie pour acheter des délicieuses baguettes, merci le protectorat français. Nosus quittons la ville pour découvrir la campagne alentour. Nous traversons de petits villages où ils fabriquent des feuilles de riz avant de découvrir le Vat Ek Phnom, un temple du XI e siècle. A notre grande surprise il y a foule. Pas un touriste, mais plus de 200 enfants et jeunes ados. On apprend par la guichetière que c’est le jour de l’année où ces jeunes viennent nettoyer le temple en prévision du nouvel an Khmer, à la mi avril. Pour le calme des lieux on repassera mais pour l’ambiance bon enfant c’est un sans faute. On passe un bon moment dans cette jeune foule qui dégage une bonne humeur de folie.
On avait lu qu’il restait une usine d’embouteillage Pepsi des années 1960 abandonnée qu’on pouvait visiter et où voir des centaines de vieilles bouteilles. Après avoir cherché un moment et demandé à beaucoup de personnes, on finit par comprendre que l’usine est désormais une usine de bouteilles d’eau et que tout a été enlevé. Trop déçus.. On continue donc notre programme bien chargé avec la visite d’une ancienne maison khmère, la Khor Sang. Une vieille dame nous la fait visiter en français en expliquant que c’est son grand père qui a construit cette maison en 1907. Il était le secrétaire du gouverneur thaïlandais de la province de Battambang.
Après ce joli moment nous faisons un stop dans le domaine viticole de Prasat Phnom Banon, qui produit l’un des vins les plus rares du monde. Après une dégustation de leur vin et de leur cognac nous reprenons la route pour un deuxième temple, le Phnom Banan avec ses 358 marches. Sa structure rappelle celle du célèbre Angkor Vat. Sur la route pour le Phnom Sampeau, nous traversons la campagne cambodgienne, très verte mais poussiéreuse. Les paysages sont très beaux.
Arrivés au Phnom Sampeau, on découvre un ensemble de temples dressé au sommet d’une falaise. Nous visitons les lieux très joliment décorés, peu rassurés par les singes qui nous suivent de très (trop) près. Pendant la descente de la falaise on s’arrête à la « Killing cave », une grotte où sont entassés des centaines d’ossements humains datant de la guerre civile. De retour en ville, après un bref passage au marché, on se dirige vers l’école de cirque de Phare Ponleu Selpak pour acheter nos billets pour le spectacle du soir.
Par chance, un spectacle va déjà se dérouler au moment où on achète les billets. Un des responsables nous explique qu’une école de cirque allemande, une française et une africaine sont venues travailler avec leur école de cirque et présentent leur spectacle. Il nous invite à venir les voir, à jouer des percussions entre autre. Très beau moment vécu avec eux, on avait presque l’impression de faire partie du truc. Ça nous a juste donné encore plus envie de voir le spectacle du soir.
Entre les deux représentations on rentre en ville acheter à manger au Night Market, un délice. En attendant, nous assistons, impuissants, à la mort d’un chiot sous les roues d’un camion. Les cambodgiens avaient l’air plus choqués de voir Camille en pleurs que par la scène en elle-même. Affreux, le gros drame du voyage. On se dirige vers le crique encore chamboulé par ce qu’on vient de voir.
Heureusement la magie opère et nous redonne le sourire. L’école de Phare est en fait un centre pluriartistique pour les jeunes défavorisés qui propose des spectacles à renommée internationale. Ils forment aussi des artistes dans le domaine du théâtre, des arts visuels, de la danse et de la musique. Le spectacle du soir qui allie théâtre, acrobatie et musique est juste génial ! On rigole comme des gamins et on ressort de là impressionnés par les prouesses artistiques. On a adoré et passé une soirée extra.
On avait lu qu’il restait une usine d’embouteillage Pepsi des années 1960 abandonnée qu’on pouvait visiter et où voir des centaines de vieilles bouteilles. Après avoir cherché un moment et demandé à beaucoup de personnes, on finit par comprendre que l’usine est désormais une usine de bouteilles d’eau et que tout a été enlevé. Trop déçus.. On continue donc notre programme bien chargé avec la visite d’une ancienne maison khmère, la Khor Sang. Une vieille dame nous la fait visiter en français en expliquant que c’est son grand père qui a construit cette maison en 1907. Il était le secrétaire du gouverneur thaïlandais de la province de Battambang.
Après ce joli moment nous faisons un stop dans le domaine viticole de Prasat Phnom Banon, qui produit l’un des vins les plus rares du monde. Après une dégustation de leur vin et de leur cognac nous reprenons la route pour un deuxième temple, le Phnom Banan avec ses 358 marches. Sa structure rappelle celle du célèbre Angkor Vat. Sur la route pour le Phnom Sampeau, nous traversons la campagne cambodgienne, très verte mais poussiéreuse. Les paysages sont très beaux.
Arrivés au Phnom Sampeau, on découvre un ensemble de temples dressé au sommet d’une falaise. Nous visitons les lieux très joliment décorés, peu rassurés par les singes qui nous suivent de très (trop) près. Pendant la descente de la falaise on s’arrête à la « Killing cave », une grotte où sont entassés des centaines d’ossements humains datant de la guerre civile. De retour en ville, après un bref passage au marché, on se dirige vers l’école de cirque de Phare Ponleu Selpak pour acheter nos billets pour le spectacle du soir.
Par chance, un spectacle va déjà se dérouler au moment où on achète les billets. Un des responsables nous explique qu’une école de cirque allemande, une française et une africaine sont venues travailler avec leur école de cirque et présentent leur spectacle. Il nous invite à venir les voir, à jouer des percussions entre autre. Très beau moment vécu avec eux, on avait presque l’impression de faire partie du truc. Ça nous a juste donné encore plus envie de voir le spectacle du soir.
Entre les deux représentations on rentre en ville acheter à manger au Night Market, un délice. En attendant, nous assistons, impuissants, à la mort d’un chiot sous les roues d’un camion. Les cambodgiens avaient l’air plus choqués de voir Camille en pleurs que par la scène en elle-même. Affreux, le gros drame du voyage. On se dirige vers le crique encore chamboulé par ce qu’on vient de voir.
Heureusement la magie opère et nous redonne le sourire. L’école de Phare est en fait un centre pluriartistique pour les jeunes défavorisés qui propose des spectacles à renommée internationale. Ils forment aussi des artistes dans le domaine du théâtre, des arts visuels, de la danse et de la musique. Le spectacle du soir qui allie théâtre, acrobatie et musique est juste génial ! On rigole comme des gamins et on ressort de là impressionnés par les prouesses artistiques. On a adoré et passé une soirée extra.